Dossier de presse marie barrillon MAJ 23 01 2013 - Page 1 - Dossier de presse Marie BARRILLON, écrivain Sommaire Présentation de l’auteur a. Photo de l’auteur b. Biographie et parcours de l’auteur c. Bibliographie de l’auteur Présentation du livre "La vie suspendue" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Leçons de vie" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Emilie entre fabulations et vérités" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Les rimes de l’amour" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Emotions Silencieuses" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Camille, regarde devant toi !" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Quand j’y pense !" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "La vie est parfois une surprise" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation du livre "Poil d’or, le lapin géant" a. Couverture du livre b. 4ème de couverture c. Extrait du livre Présentation de l’auteur Biographie et parcours Née le 31 Août 1967 à Paris. Marie BARRILLON a vécu une enfance que l’on peut qualifier de normale. Une bonne éducation s’appuyant entre autre sur le respect et la politesse, l’honnêteté et la loyauté. Pas de grand malheur, ni de grand bonheur, mais une passion véritable et entière pour sa grand-mère maternelle jusqu’à sa disparition en Janvier 1997. Quant à son adolescence, elle fut perturbée par le divorce de ses parents et son entrée en internat où elle a été assez malheureuse, allant jusqu'à fuguer un soir de mai à la nuit tomber. A cette époque, elle a appris la solitude. Et avec les années, elle en a fait la triste connaissance sous toutes ses formes. A quinze ans, Marie BARRILLON a commencé à écrire. Un peu grâce à son père, dit-elle. Elle lisait déjà énormément, trop peut-être pour cet âge, trouvant surtout ainsi un refuge, l'invitant ainsi à l'oubli. C’est alors que son père lui avait demandé de lui faire un récit écrit de chacun des livres qu’elle engloutissait, n’étant pas persuadé qu’elle les comprenait bien tous. C’est ce qu’elle a commencé par faire. Puis, au fil des lignes, elle s’est interrogée sur le fait que si elle était capable de cela, elle pouvait bien être capable d’écrire autre chose de plus concret et personnel. Elle a donc commencé ainsi son parcours dans l’écriture. La passion était née. Son refuge était désormais l’écriture. Un remède qui soulage tous les maux. Un exutoire qui donne une autre couleur à la vie. La meilleure des guérisons. La plus belle des thérapies. Elle n’a jamais cessé d’écrire depuis. Sa vie a continué sa route sur le même chemin parsemé d’embûches, de déceptions où chaque fois l’écriture fut cet exutoire et le remède à tous les maux, à toutes les peines, à toutes les entorses auxquelles nous sommes confrontés. Son premier enfant, une fille, a vu le jour en juin 1987, peu avant ses vingt ans. Beaucoup de poèmes ont fusé de son cœur pour elle. Ce jour là, elle a réalisé qu’elle ne naviguerait plus en nage libre dans la vie, mais qu’elle avait à présent, enfin, un moteur pour l’aider à avancer sur la route de sa vie. Un an après, elles se retrouvaient seules, toutes les deux face à la vie qui n’allait pas les épargner, battant les difficultés sans faillir main dans la main, mais surtout cœur contre cœur durant près de neuf ans. En 1996, son fils a poussé son premier cri, un second moteur dans la vie n’était pas de trop. Là aussi, elle a écrit beaucoup de poèmes pour ce bébé inattendu, car c’était bien le cas. Quelques mois après sa naissance, sa grand-mère maternelle les quittait, laissant un grand vide dans le cœur et la vie de la jeune femme. Elle a alors franchi le cap d’une douleur profonde encore inconnue et d'en avoir atteint les limites. La plus grande douleur de sa vie, avouera-t-elle. Cette profonde écorchure lui aura appris à aimer différemment. Marie BARRILLON s’est raccrochée à ses deux moteurs (ses enfants) pour parvenir, non sans difficultés, à refaire surface dans leur quotidien ébranlé. Elle a reporté sur eux tout cet amour qui n’avait plus sa destination initiale. Ses enfants sont son moteur de vie, ce moteur qui ne s’arrête jamais de vrombir quoi qu’il arrive et quelque soit les aléas malencontreux. L’écriture était plus que jamais son remède, son soulagement dans tous les instants douloureux où le bonheur n'avait que peu de place. En 2001, après une douloureuse histoire d’amour naissait « La vie suspendue » publié aux Editions Le Manuscrit en Novembre 2004, suivi de près par « Leçons de vie » chez le même éditeur en Février 2005. En Octobre 2007, c’est au tour de « Emilie entre fabulations et vérités » d'être publié, également aux éditions Le Manuscrit. Puis, en Juillet 2010, son recueil poétique « Les rimes de l'amour » sort chez TheBookEditions. Son roman « Camille, regarde devant toi ! » est, quant à lui publié par Praelego en avril 2012 et « Quand j'y pense ! », un recueil de pensées chez TheBookEditions en Juillet 2012. Viennent ensuite, « La vie est parfois une surprise » paru chez Trinôme Editions en novembre 2012 ainsi que « Poil d'or, le lapin géant » son premier album jeunesse. Elle n’en restera pas là puisqu'elle est actuellement en cours d’écriture de deux autres romans : « Un bonheur sur la pointe des pieds » en priorité et « Le bonheur n'est pas qu'un souvenir » (titres provisoires), ainsi qu'un roman en collaboration avec son père. Plusieurs autres albums jeunesse sont en cours d'illustration pour des parutions à venir. En parallèle à l’écriture de ses divers romans, recueils poétiques et albums jeunesse, Marie BARRILLON a été Chroniqueur au comité de rédaction pour le magazine Booxeo-1001 livres où elle a rédigé chroniques de livres, interviews d’auteurs et articles divers de Septembre 2008 à Août 2011, date de la fermeture du magazine. En Janvier 2011, elle décide de créer une revue (bénévolement) en accès gratuit sur le Net qui aura pour ambition d'aider les auteurs, peu ou non connus, à avoir un peu plus de visibilité. Les chroniqueurs qui la rejoignent sont tous bénévoles et passionnés de littérature. La revue 100% Auteurs (sous copyright) prend donc naissance et reçoit un succès inattendu. Ce qui amène Marie BARRILLON à fonder l'association du même nom en Février 2012 et qui aura les mêmes ambitions, tout en mettant en place des évènements littéraires. La Revue 100% Auteurs sur Facebook L'association 100% Auteurs En outre, elle est écrivain public de métier, apportant ses compétences à toute personne qui lui fait confiance, sous forme d'aide rédactionnelle en tout genre. www.ecrivainpublic75.com Bibliographie de l’auteur Livres publiés : "La vie suspendue", Novembre 2004, Editions Le Manuscrit "Leçons de vie", Février 2005, Editions Le Manuscrit "Emilie entre fabulations et vérités", Octobre 2007, Editions Le Manuscrit "Les rimes de l’amour", Juillet 2010, Editions Edilivre "Emotions Silencieuses", Février 2012 " Camille, regarde devant toi !", Avril 2012 "Quand j’y pense !", Juillet 2012, TheBookEditions "La vie est parfois une surprise", Novembre 2012, Trinôme Editions "Poil d’or, le lapin géant", Novembre 2012, Trinôme Editions Présentation du livre "La vie suspendue" L’histoire (quatrième de couverture) C’est la Sainte Catherine, un jour où pour beaucoup c’est la fête. Mais pour d’autres c’est tout un ciel qui s’effondre. Un ciel où toutes les couleurs du bonheur s’assombrissent jusqu’à paraître noires dans l’infini. C’est le jour de la révélation de la maladie, qui s’incruste et détruit. Elle fait son chemin, mais avant d’anéantir le corps elle détruit un couple à petites doses. Ils vont se battre la peur au ventre à chaque instant. Chaque seconde est une petite victoire. Ils y croient. Mais la maladie est parfois trop forte. Leur amour ne s’en relèvera pas. Pourtant, ils s’aiment, ils sont faits l’un pour l’autre. La vie, elle, en a décidé autrement. Extrait Au son de l’amour, la vie se déchire. Une douleur s’insinue dans chaque rainure de bonheur. La détresse fait son plein d’angoisse, détruisant toutes illusions. Raison, déraison le mélange s’annonce dangereux. Au de-là de nous, plus loin que notre simple vision, les ténèbres se dessinent. N’est-ce pas ainsi que l’on dit lorsque la noirceur prend corps, s’approchant de ses pas immenses ? Doyenne de tous les temps. Quand l’ultime éclair est passé, surplombant tout l’espace au-dessus, notre ciel se termine dans le noir pesant. Subitement la réalité se met à nu dans une pirouette habile mettant un écart entre une partie de ce que j’aime et moi, c’est à dire toi. Faisant de cet espace un néant. Pétrifiant toutes nos passions. Dégonflant nos cœurs et leur trop plein de tendresse. Me projetant à l’autre bout de nous. Trop loin pour parvenir à te saisir de nouveau la main. Trop loin pour me lover dans tes bras et ne plus m’en échapper. Trop loin pour te voir distinctement. Toi et tout ce que tu symbolises. Tout ce qui t’anime. Tout ce qui te déchire. Comment nommer une annonce tragique ? Une nouvelle ? Une catastrophe ? Un désastre ? Un couperet ! Le malheur incarné. Cette lame qui tranche, dans tous les sens, tout ce qui est à sa portée et qui n’est pas encore vraiment haché. Il était là, au-dessus, surplombant notre ciel. Audessus de nos têtes, il a perdu l’équilibre. Déstabilisé, il a chaviré. Il est tombé. Sa lame ne s’est pas brisée. Oh non ! Elle nous a incisés à sec. Plus nettement qu’un couteau sur la peau. Tranchant l’entre nous. Ce couperet est tombé avec toute son agilité. Une guillotine fine et aiguisée a tranché ma vie, la tienne, la notre. Nos espérances. Nos rêves. Et quoi encore ? Lui faut-il donc tout de nous ? Tout ce qui fait notre chemin. Notre vie. Nos projets. Nos désirs. Notre avenir. Toi qui es ce que l’on peut aimer le plus. Intelligent, instruit, gentil, passionné, généreux, aimant... J’en passe c’est sur. J’en oublie sûrement. En suis-je pardonnée ? Le passé s’éloigne, je veux le retenir, malgré toute ma détermination, il s’efface. Un passé définitif mais cependant inachevé. L’avenir se trouble, douloureusement. Ne reste que ce présent trop présent, là, qui nous enveloppe trop serrés comme une seconde peau. Ne plus rien envisager. Tout se fait et se fera au jour le jour, à la minute, presque à la seconde. Tout ce temps qui court est à calculer avant qu’il ne s’essouffle. Les centimètres sur la règle du destin sont à compter, à surveiller à tout instant, sans faire l’erreur d’en oublier un. Tout se décalerait soudain trop vite. Ce serait fatal dans notre continuité incertaine. Fatal pour tous nos lendemains qui nous usent à l’avance, rien que d’y songer. Dorénavant, comment penser à tout sans rien omettre ? Tout devient important et en même temps éphémère. Remettre en forme tout ce qui se déforme. Je n’ai pas de recette pour que nos repères restent visibles. Ils ne sont plus que des pointillés sur cette ligne devenue limitée. Incompatible avec l’éternité. Incompatible avec sérénité. Incompatible avec la vie. Avec nos vies. Avec l’amour. Avec tout ce qui est sourire. Avec tout ce qui est toi. Moi. Nous. Le monde. De multiples illusions vont nous remplir pour mieux nous faire percevoir les déceptions... La vie suspendue Présentation du livre "Leçons de vie" L’histoire (quatrième de couverture) Il se passe tant d'événements dans une vie. Des gens que l'on aime à s'en décoller la peau du cœur. A s'en tatouer la vie de sourires éternels. D'autres que l'on voudrait ne plus croiser, pas même en pensées, tant ils nous retournent l'estomac en y faisant des nœuds que l'on ne peut plus dénouer. Et puis...et puis il y a les exceptionnels dont on ne parviendra jamais à faire le deuil parce qu'ils ont laissé une emprunte indélébile sur notre vie. Il n'y en a pas beaucoup de ces derniers. Un, deux, trois peut-être...Mais voilà, ils sont passés par là... Extrait Vous qui êtes là à lire mes lignes, vous avez donc du temps pour moi ! Vous avez donc le temps ou bien l’envie qui vous triture de quitter votre vie quelques instants, pour partager la mienne. Juste quelques bribes de la mienne. De ce qui l’a traversée, brutalisée, apaisée, blessée, égayée. Avec mes chimères, mes peines, mes espoirs et désespoirs, mes illusions et mes certitudes, mes rêves et ma réalité. Enfin, si vous êtes là, c’est déjà cela de plaisir de gagné pour moi et pour vous peut être aussi…enfin je l’espère. Plaisir de vous faire penser à autre chose. D’autres vies. D’autres destins. Vous oublier un peu vous-même et regarder ce qui ce passe sur d’autres horizons. Le mien en l’occurrence. Et quelques-uns qui évoluent autour de moi. Certains qui s’approchent, d’autres qui s’éloignent jusqu’à disparaître. Vous donner trois notes de mon cœur, voir plus. Quelques notes d’une vie assez décousue et si souvent recousue. Anéantie pour mieux la reconstruire. J’ai dans les yeux des soleils étincelants, des pluies d’orages, des brumes opaques, des brouillons compacts, des arcs-en-ciel aussi. De plaisirs en déplaisirs, parfois, le pas est si court, si rapide à enjamber que souvent nous le passons sans le voir. Nous le faisons sans en calculer l’importance, ni la distance, tant elle peut être imperceptible. Nous n’en captons pas toujours la part essentielle qu’il peut représenter dans l’avenir. Le vôtre. Le mien. Celui de chacun. Trop de temps s’est écoulé sans que je puisse oublier. Parce qu’en définitive rien ne s’oublie vraiment. Des bribes persistent en permanence. J’ai quelques heures pour vous. Du temps dans le temps. Du mien dans le vôtre. Quelques heures pour vous faire voir autre chose. Autre chose que votre vie à vous. Que votre quotidien trop quotidien. Votre ordinaire trop ordinaire. Vos habitudes trop habituelles. Votre boulot qui vous entortille trop serré. Une course continue et continuelle. Une vie à vitesse rapide. Vos obligations trop obligatoires, qui vous assomment et vous étouffent, trop, mais jamais un peu. Juste un peu. Juste pour dire, j’ai des obligations comme tout le monde. Non, trop d’obligations obligatoires. Moi aussi, rassurez-vous ! C’est drôle cette idée d’obligations obligatoires. Un peu n’importe quoi me direz-vous ! Eh oui ! Un peu n’importe quoi cette expression que je suis allée chercher là, c’est pourtant si réel. Nous ne pouvons passer outre. L’engrenage ne nous le permet pas. Comment le dire autrement sans dénaturer ce que je veux dire ? Il y a des impressions que nous ne pouvons, parfois, écrire de façon normale. C’est comme ça. Tant pis pour les incorruptibles de la langue française et de son écrit surtout. Tant pis pour les oreilles écorchées, les yeux sensibles. J’ai envie de dialoguer avec vous, voyez-vous. Dialogue de sourd puisque je suis seule à parler. Pas de réponses alors je me satisfais à les imaginer. Mais, si vous me suivez toujours c’est que je vous intéresse, c’est déjà bien et cela me plaît…vraiment. Je vous parle en décalé puisque j’aurais terminé depuis longtemps lorsque vous commencerez à lire mes mots et autres maux. Quelques joies aussi. Quelques bonheurs. Quelques rires et sourires. Mais les soupirs ne les comptez surtout pas. En décalé, c’est ce que nous sommes tous un peu dans ce monde… Leçons de vie
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