CINEMODE MAGAZINE N°5 - Page 3 - avec en interview O.D.y.L, Sonia Gleis, Lynn Schockmel, et pleins d'autre surprises....... Magazine mensuel gratuit éditié par APAS FILMS PRODUCTION a.s.b.l Rédacteur en chef: Jason Edwards Rédaction: info@cinemodemagazine.com Publicité: Tél: +352 27763533 publicite@cinemodemagazine.com Couverture: O.D.y.L www.odyl.fr Nous remercions particulièrement: Laurent Schmitt, Claude Zeller,Sébastien Rusello, DJ Eaven, Odyl,Carole (Service Presse de O.D.y.L, Zakaria de Paparazzi, Florian de Mixlor, Miss Christal, AIR l’autre Télé,Walygator, Hua Zhao et tous que nous avons oublié. Siège social: 6 rue du Couvent L-1363 Howald / Luxembourg Site: www.cinemodemagazine.com Registre du Commerce et des Société sous le numéro F430 et étais publié dans le Mémorial C N°439 (p. 21026 & 21027) le 26 avril 2004 au Luxembourg. En Lorraine nous sommes déclaré à la Sous-Préfecture de Briey sous le N° 108/04 et étais publié dans le Journal officiel N°5 (137è année) du 29 janvier 2005. Numéro de siret: 481-400-901 00015 , APE 5911A / Production de films et de programmes pour la télévision. Toute reproduction du Titre, des textes,photos et maquettes sans autorisationécrite est interdite. Le Magazine déclinetoute responsabilité pour la perte ou la détérioration des éléments ou documents non sollicités par écrit ainsi que pour le contenu des publicités. Les documents reproduits ici l’ont été avec l’accord préalable du photographe ou de l’envoyeur. Photos non contractuelles. Tous les tarifs du magazine sont des prix indicatifs. SOMMAIRE O.D.y.L. le rock dans la peau P. 12 -14 Lynn Schockmel P.32 - 34 DJ EAVEN P. 6 - 9 Miss Cristal P. 16 - 19 SONIA GLEIS P.22 - 25 Girls Génération, the new Pussycatdolls ? P. 4 Programme de Cinéma de Septembre P. 30 Fitness Coach, Conny G. P. 38 EN INTERVIEW A LA WEB TV: KAYLEE G. DJ Féminine N°1 en France. Miss Eaven Avec une tournée de plus de 70 dates par an, Miss Eaven est aujourd’hui la DJ Féminine N°1 en France. Remarquée en 2004 par l’école de Dj de L’UCPA, Elle y effectue une formation complète avec des professeurs de renommée tels JAY STYLE (Fun Radio) Dj Getdown, Dj Fly (Champion du monde DMC)..... Membre de la Team DMC-NUMARK et ORTOFON, Miss Eaven était considérée à ses débuts comme la référence des Dj’s féminins Hip Hop en France. Aujourd’hui , elle continue à séduire le public graçe à ses sets, sa technique et offre une programmation large, orgiginale et variée alliant le meilleur des sons clubs Groove Electro & Pop. Son sens de l’adaptation lui permet d’être à l’aise aussi bien derrière les platines du légendaire GIBUS Club N°1 HIP HOP à Paris, que lors de conventions pour de grandes marques dans des hotels de Luxe ou encore sur les dancefloors des plus grands club Français et Européen. Miss Eaven est une artiste confirmée qui apporte sa touche de féminité à chacune de ses prestations et dans chacun des projets qu’elle entreprend. Elle développe ainsi son concept LADIES TOUCH et crée une communauté dans laquelle elle s’associe à d’autres artistes afin de mettre en avant l’art féminin sous toutes ses formes. Après avoir réalisé des passages sur FUN RADIO France et Belgique, Miss Eaven lance depuis 2006 son émission «LADIES TOUCH» 100% Club, diffusée chaque semaine sur de nombreuses radios. Miss Eaven est également la seule DjProductrice en France. Elle a commencé depuis peu à effectuer des Remixs et travaille déjà avec les maisons de disques de renommée internationale comme Happy Music, Warner ou encore Universal Music. L’interview exclusif sur la prochaine page --> «Dans la musique Club je trouve aussi qu’il y a des artistes qui sortent vraiment de bons Tracks ces derniers temps comme Rihanna ou encore le dernier Will I Am avec Eva Simon qui est juste énorme.» CINEMODE: Pourquoi as-tu eu envie de devenir DJ ? MISS EAVEN: J’ai toujours été passionnée de musique. A l’époque je voyais les Dj’s dans les clips et les vidéos comme Daddy K, ou Jazzy Jeff dans le Prince De BelAir et la manière dont ils maniaient les platines me fascinait. C’est à partir de ce moment que j’ai commencé à m’intéresser au Deejaying. CINEMODE: Tu es déjà allé spinner dans un autre pays? MISS EAVEN: J’ai déjà pas mal voyagé dans les pays européens et je me produis régulièrement en Espagne, en Suisse, en Allemagne, en Belgique et au Maroc. J’ai déjà eu l’occasion de partir mixer pour un festival à La Réunion et je dois y retourner pour mixer sur une plage pour le nouvel an 2013. Nous sommes en train de développer l’étranger. Le but pour l’année prochaine est de s’exporter en Asie et dans les pays de l’Est. CINEMODE: Quelles sont tes influences ? MISS EAVEN: J’ai commencé en mixant du HIP HOP et du R&B mais j’ai toujours aimé et été influencée par divers Styles. Mon père m’a fait découvrir le Rock, Le Funk, La Disco, puis au début des années 2000 j’ai commencé à m’intéresser aux musiques Electroniques. Aujourd’hui, je garde mon style Urbain tout en y apportant des touches de toutes mes influences. CINEMODE: Est-ce que tu peux nous donner des exemples de sets qui ont vraiment bien fonctionné ? MISS EAVEN: Je pense que dans chaque set on va garder un souvenir unique. Cela va faire une dizaine d’années que je fais des soirées et me produis dans les clubs et je peux dire que j’ai plusieurs sets qui m’ont marquée. Pour prendre les plus récents, j’ai joué pour la première partie du concert des Magic System à Lyon et pour moi cela reste un des plus beaux souvenirs car le public était vraiment en Fusion avec mon Show. Cet été je suis résidente tous les mercredis dans un club à Ciel ouvert qui peut accueillir 3 000 personnes, L’INDIGO à Collioure et chaque passage est inoubliable! CINEMODE: Qu’utilises tu comme casque pour tes sets ? MISS EAVEN: J’utilise depuis plusieurs années le Seinesher HD25. Depuis quelques, mois j’ai reçu l’édition spéciale Adidas que je trouve esthétiquement très jolie et qui a une qualité d’écoute incomparable. CINEMODE: Quels sont les DJ que tu apprécies le plus particulièrement ? MISS EAVEN: Disons que j’ai plusieurs coups de Cœur : le premier pour Daddy K qui est une référence dans le monde du Deejaying, je le voyais il y a déjà 20 ans dans les clips et aujourd’hui il est toujours là et ils nous fait vivre des choses exceptionnelles car c’est un vrai passionné. RESTAURANTORCHIDEE Tél : 24 87 37 39 Fax : 24 87 39 90 9, Route de Thionvile L-2611 LUXEMBOURG (BONNEVOIE) Fermeture : dimanche soir Proche du centre de Luxembourg, le restaurant Orchidée vous offre un endroit et un cadre relaxant dans lequel vous pouvez goûter des plats authentiques du Nord et du Sud de l’Inde. GastronomieIndienne& Bangladeshispécialités Ensuite, j’ai beaucoup appris avec Jay Style avec qui je travaille aujourd’hui au sein de la Société 103 Prod. J’aime sa façon d’animer et de créer une symbiose avec son public, c’est un Vrai Show man et ce que j’apprécie aussi c’est qu’après 20 ans de carrière il est toujours en recherche de nouvelles idées et il évolue toujours. Pour finir je te parlerai de l’artiste qui pour moi aura marqué toutes une génération de DJ dont la mienne, DJ Snake. A Seulement 25 ans, il mixe déjà partout dans le monde et a produit pour les plus grands artistes comme Lady Gaga. Sur scène, il a un véritable charisme et c’est le Dj qui m’a le plus impressionnée en soirées. CINEMODE: Quels sont les autres styles de musiques que tu écoutes ? MISS EAVEN: Comme je le citais précédemment mes influences et gouts musicaux sont trèsvariés. J’aime beaucoup la musique ≪Black≫, et j’ai découvert dernièrement des artistes Gospel et Jazz que j’apprécie vraiment. Dans la musique Club je trouve aussi qu’il y a des artistes qui sortent vraiment de bons Tracks ces derniers temps, comme Rihanna ou encore le dernier Will I Am avec Eva Simon qui est juste « énorme ». CINEMODE: As-tu d’autres conseils à donner aux autres DJs? MISS EAVEN: Je pense qu’il est important de garder cette passion pour la musique et le gout du partage avec le public pour faire ce métier. Il faut avoir son propre univers et sa touche personnelle pour apporter quelque chose et faire voyager le public. Nous avons tous les mêmes outils technologiques et avec internet quasiment tout le monde a accès aux mêmes ressources musicales. J’aimerai aussi voir plus de filles aux platines car je trouve que cela manque sur le marché. Les filles ont une autre façon d’amener les choses dans le mix et leur programmation musicale, c’est ce que j’appelle la « Lady’s Touch! »Mais surtout il ne faut pas oublier d’où l’on vient et que Dj reste un métier à part entière et nécessite du travail, de la rigueur et du sérieux. O.D.y.L.Le rock dans la peau CINEMODE : Peux-tu te présenter et nous nous dire qui tu es ? ODYL : Je suis ODYL … Je suis sur scène sous ce nom depuis un an et demi tout juste. Un an et demi de concerts, de folie, de beaux et douloureux moments. J’ai sorti un premier ep en mars, une espèce de carte d’identité qui présente qui je suis : enragée, en colère, électrique, bizarre, sombre mais aussi sensible, fragile, mélancolique. En tout cas vraie. CINEMODE : Comment es-tu devenue chanteuse ? ODYL : J’ai commencé à écrire des textes très jeune, ensuite j’ai découvert Nirvana et le Rock et j’ai commencé à gratouiller sur la guitare de mon frère. Je chantonnais pour composer mais je ne me voyais pas chanteuse, je chantais très mal. Pourtant, je m’y suis mise assez vite car j’avais besoin de chanter mes mots, et mes maux. Je ne me considère pas toujours comme chanteuse. Mon but, c’est plus d’être artiste que chanteuse. CINEMODE : Des chansons qui te ressemblent ? ODYL : J’ai monté un groupe assez jeune dont j’étais la « meneuse ». Je voulais décider de tout, j’étais auteur compositeur, je m’occupais aussi des visuels, de la direction artistique, de l’organisation des concerts, etc… Au fur et à mesure, du coup, je tournais en rond, et surtout j’avais de moins en moins de temps pour la musique ellemême et je me suis perdue artistiquement. Avec ODYL, j’ai eu la chance de pouvoir tout reprendre à zéro, me regarder dans un miroir et décider de ne faire que ce qui me ressemble. Ça a pris plusieurs mois, plusieurs larmes, plusieurs doutes, plusieurs maquettes, il a fallu se faire violence mais je suis très fière et contente aujourd’hui de cette ODYL qui me ressemble. J’ai travaillé avec plusieurs compositeurs qui m’ont permis d’ouvrir mon champ de vision et ma manière de composer. CINEMODE : Comment choisis-tu tes chansons ? ODYL : C’est assez instinctif. L’instinct de l’art a souvent été remis en question parce que ça fait des années qu’on nous parle de conceptualiser tout ce que l’on fait. Mais moi j’aime le côté sauvage du rock, c’est pour ça que je me reconnais plus dans cette musique que dans les autres, j’aime le côté animal, non réfléchi, craché, expulsé. Mes textes sont comme ça. Ils viennent souvent de sentiments de rage, d’injustice, de colère, et parfois de choses plus douces. suite de l’interview sur la prochaine page --> CINEMODE : Comment décris-tu ton style? ODYL: Je dis que je fais de la chanson rock n’roll. Il y a justement le côté instinctif et ≪rien à foutre≫ du rock, mais tout est basé autour de textes en français, de messages de fond. Je suis féminine sans être féministe, je suis enragée sans forcément être vraiment engagée. CINEMODE: Tu parles beaucoup d’amour dans tes chansons, l’amour t’inspire? ODYL: Je n’ai pas l’impression de parler tant que ça d’amour. Je parle plus de haine de soi-même que d’amour. Je parle plus de fleurs noires que de fleurs bleues. L’amour fait partie de nos vies, on aime : nos parents, nos enfants, nos amis, nos vies, nos vues, des sourires. Et la haine, c’est juste de l’amour qui souffre. Voilà de quoi je parle.Apart les sentiments, les émotions et l’art, rien ne me semble intéressant dans la vie. . Faire du développement n’est apparemment plus dans leurs projets, ni croire dans un artiste sur le long terme. Je ne suis ni dans la « hype » parisienne, ni dans la musique ultra populaire et commerciale, et être entre les deux semble impossible pour eux. J’ai bossé comme une malade sur ce projet avec mon manager, mon attachée de presse et les gens qui m’entourent et croient en moi. On a fait naître et grandir ODyL et fait plus de 70 dates. On a fait grandir la fan base. De plus en plus de gens, de fans, de médias et de pros croient en ODyL. J’ai hâte de voir la suite. D’autant plus que je ne suis pas seule, et que les gens qui croient en moi sont capables de soulever des montagnes. Et moi aussi, même si parfois je doute. CINEMODE: Tu as déjà une solide expérience de la scène. Peux-tu nous dire ce que tu ressens lorsque tu es devant le public ? ODYL: Effectivement, j’ai fait des centaines de concerts. J’avais un camion à l’époque de mon précèdent groupe, ce qui nous a permis de tourner de manière ≪système D≫. On a fait énormément de cafés concerts, on a joué un peu partout, et malgré les nombreuses galères, c’est le plaisir d’être sur scène qui nous a poussé à continuer. Avec ODyL j’ai eu la chance de faire beaucoup de concerts, mais principalement des premières parties, donc devant beaucoup de monde, dans de bonnes conditions. J’ai fait mes premières scènes seule en guitare voix. C’était très impressionnant. L’adrénaline, le plaisir, l’amour communiqué par le public... Les centaines de sourires, d’autographes, d’étoiles dans les yeux... C’est ce qui me donne envie, ce qui m’a poussée et continue à me pousser à tout sacrifier pour ces quelques instants sur scène. CINEMODE: As-tu d’autres passions en dehors de la musique? ODYL : J’ai fait de la photographie et des arts graphiques, j’ai fait des études d’art, j’aime le cinéma, je suis archi fan de l’Italie, La Dolce Vita, oui la douceur de vivre qu’il y a là-bas et qui est tellement loin de mon 18ème arrondissement de Paris. CINEMODE: Tu es très proche de tes fans? ODYL: Oui, certains sont devenus des amis. ODyL existe par et pour eux. Il n’y a pas de tableaux sans yeux pour les regarder, pas de musique sans oreilles pour l’écouter, pas d’OdyL sans odylons et odylettes. CINEMODE: Astu des choses à dire aux lecteurs de CINEMODE ? ODYL: Rendez-vous sur ma page Noomiz, Facebook, Twitter pour écouter, voir, découvrir... Rendezvous en live à Paris au Triskel, le 13 septembre, à Meaux, aux Muzik’elles , le 22 septembre ... Et puis, O(ver) d(ose)Y(our) L(ife) ... Découvrez le dernier clip de ODyL sur notre site www.cinemodemagazine.com . CINEMODE: Tu as signé chez SONY, et ensuite quelle est la première chose que tu as fait après la signature ? ODYL: J’ai signé chez SONY pour un an avec option album. Ils n’ont pas levé l’option pour faire l’album et m’ont rendu mon contrat, comme cela arrive à de nombreux artistes. Je suis restée 9 mois chez eux et je n’ai pas été conviée dans leurs bureaux une seule fois. Je n’ai vu mon chef de projet qu’une seule fois, je n’ai jamais eu de réponse : ni à mes mails ni à rien. Je n’ai jamais été considérée et partir de chez eux était, dans ces conditions, le mieux à faire. CINEMODE: Qui est Amélie Dominique, la toute première Miss Cristal 2012 ? Amélie: Je suis une nancéenne de 21 ans, actuellement en Diplôme de Comptabilité et de Gestion en alternance. Je suis quelqu’un de simple, naturel et dynamique qui aime la cuisine, le dessin et les animaux. CINEMODE: Revenons-en à ton élection, t’attendais-tu à cette victoire ? Amélie: Non, j’ai été surprise et très heureuse d’entendre mon prénom ! CINEMODE: A ton avis, qu’est-ce qui a séduit le jury chez toi, et l’a amené à te choisir comme Miss Cristal 2012 ? Amélie: Peut -être mon naturel et ma spontanéité. CINEMODE: Que représente pour toi le titre de Miss Cristal, et que comptestu faire pour l’année de ton ≪ règne ≫? Amélie: Miss Cristal représente un des joyaux de la Lorraine qui est le Cristal. C’est un signe de beauté, d’élégance et de pureté. Plus généralement, recevoir ce titre est à la fois une grande fierté car il me permet de véhiculer les valeurs des miss et un honneur de faire partie de cette grande famille de Miss Lorraine, et aussi une responsabilité. Pour l’année de mon règne, je souhaite profiter un maximum de tous les moments, rencontrer de nouvelles personnes, découvrir ma région et plein de nouvelles activités comme les manifestations, les shooting, les dédicaces… De plus, être la première Miss Cristal est une chance de plus car je fais découvrir ce titre. CINEMODE: Estce que ton titre de Miss Cristal t’a ouvert des portes dans le monde de la « Beauté » ? Amélie: Oui, grâce à ce titre, j’ai pu faire mes premiers shooting et j’ai eu des demandes pour présenter les nouvelles créations d’ateliers. -----------------------------------------------------------------Miss Cristal représente un des joyaux de la Lorraine qui est le Cristal, c’est un signe de beauté, d’élégance et de pureté. -----------------------------------------------------------------CINEMODE: Que pense ton entourage de ton titre ? Amélie: Mes proches sont très contents pour moi et me soutiennent pour la suite de cette aventure. CINEMODE: Peuxtu nous parler un peu de cette aventure ? Qu’est-ce qui t’a poussée à te présenter à cette élection ? Amélie: Je me suis présentée à l’élection de Miss Cristal tout d’abord pour découvrir l’univers des Miss et aussi pour vivre cette formidable expérience, pour prendre confiance en moi et me prouver que je peux surmonter ma timidité. C’est une aventure à vivre ! On rencontre beaucoup de personnes, on découvre plein de nouvelles choses et on passe de très bons moments ! CINEMODE : Quelles sont les missions de Miss Cristal 2012 ? Quels sont les projets sur lesquels tu souhaites t’investir ? suite de l’interview sur la prochaine page MISS CRISTAL 2012 Amélie Dominique élue Miss Cristal 2012 sous la délégation Miss Lorraine pour Miss France Amélie: Les missions de Miss Cristal sont de promouvoir ce nouveau titre et de véhiculer les valeurs de la délégation Miss Lorraine à travers la région, de dynamiser l’activité du cristal et de l’ensemble des personnes qui contribuent au développement de cette valeur de la Lorraine. Je souhaite m’investir dans plusieurs associations caritatives comme la SPA car j’adore les animaux, la Croix rouge ou le Don du sang. CINEMODE: Qu’est-ce que cette couronne va changer dans ta vie ? Amélie: La couronne de Miss Cristal m’apporte beaucoup au niveau personnel car elle me permet de prendre confiance en moi et de m’ouvrir plus facilement. De plus, c’est toujours un plaisir de participer à des manifestations, de faire des rencontres et de passer des moments avec le comité ! CINEMODE: Comment voistu l’avenir ? Amélie: Je vois l’avenir avec beaucoup de bonheur, de découvertes, de rencontres et de passion pour mon écharpe. CINEMODE: As-tu un message particulier à délivrer à l’attention des jeunes filles qui pensent déjà à te succéder ? Amélie: N’hésitez pas à tenter votre chance car c’est une aventure unique à vivre et qui apporte beaucoup ! Plus d’infos sur la Miss Cristal : http://www.misslorraine.fr Credits Photos: Photographe: Sébastien Rodrigues Midlands Artistic COPYRIGHT: BOND PHOTOGRAPHER de Bangkok SONIA GLEIS MANNEQUIN LUXEMBOURGEOISE RECONNUE INTERNATIONAL CINEMODE : Peux-tu te présenter à nos lecteurs ?---SONIA: Je m’appelle Sonia Gleis, je suis originaire de Strassen au Luxembourg. Je vis depuis 6 ans entre Paris et Strassen où j’ai la chance d’avoir un pied à terre. Je travaille dans le mannequinat depuis l’âge de 16 ans et depuis 6 ans je suis mannequin professionnel au niveau international. Mon agence est basée à Paris. J’ai eu la chance de travailler pour de grandes marques telles que Louis Vuitton récemment, Yves-Saint-Laurent, Céline, Diane Von, Furstenberg, etc. ainsi que dans la publicité pour Orangina, Make Up Forever, Aubade, Tissot, L’Oréal, etc... CINEMODE : A quel moment de ta vie astu réalisé avoir un physique diffèrent ? SONIA: Mon but n’a jamais été de devenir mannequin pro. Dans le sens où pendant longtemps je n’ai pas particulièrement pris soin de moi. J’étais plutôt du genre « garçon manqué ». Ce sont des amis photographes de mon père qui m’ont donné goût à la photographie. Vers 18 ans je me suis rendu compte que ça marchait bien et j’ai commencé à prendre un peu plus soin de moi. Aujourd’hui, je fais beaucoup plus attention car mon corps est mon outil de travail. Je ne fume pas, je dors beaucoup et à la maison je ne bois que de l’eau. Je fais rarement la fête pour ne pas avoir l’air fatiguée. En règle générale, ce ne sont pas les mannequins qui font la fête tout le temps qui sont le plus « bookées » en agence. Les vrais mannequins qui bossent, se couchent tôt pour être en forme le lendemain pour attaquer les shootings et les castings. Faire attention à son physique, c’est-à-dire avoir une bonne hygiène de vie, est important lorsqu’on veut travailler comme mannequin. CINEMODE: En tant que premier mannequin Luxembourgeois à travailler à Paris peux-tu nous décrire ton parcours ? SONIA: Je ne suis certainement pas la 1ère luxembourgeoise à avoir réussi à décrocher un contrat en agence à Paris. Avoir un contrat dans une agence à Paris, si on a les bonnes mensurations et un bon book de mannequin est assez facile. Ça commence à devenir plus compliqué lorsque le mannequin doit faire ses preuves sur les castings. Si le mannequin n’est pas choisi par les clients, dans ce cas, l’agence « l’élimine » rapidement de son fichier. L’agence donne facilement un contrat « test » au mannequin pour voir comment il bosse avant de l’inscrire définitivement, mais elle peut tout aussi vite le rayer de sa liste. Le plus difficile est de réussir à faire ses preuves, de se construire une bonne réputation et de durer. S’il y a si peu de Luxembourgeoises qui bossent en tant que mannequin à Paris, c’est parce que les agences demandent impérativement aux mannequins de vivre sur place. Or très peu d’entre eux disposent d’un appartement à Paris et beaucoup sont trop attachées au Luxembourg pour s’imaginer y vivre à plein temps. Il est vrai qu’actuellement je suis la seule mannequin luxembourgeoise à être basée à Paris à plein temps. En arrivant à Paris en tant qu’étudiante à 19 ans, je me suis fait remarquer rapidement par un scout d’agence en me promenant à la FNAC, sur les Champs Elysées. En moins d’une semaine, j’avais mon contrat et comme j’avais déjà de l’expérience et des références avec de gros clients au Luxembourg, j’ai vite décroché mes premiers bookings. suite de l’interview sur la prochaine page
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