METAL II MARS VOL.52 - SEPTEMBRE 2019 - Page 14 - Metal II Mars est un fanzine spécialisé dans l'actualité metal de la région marseillaise. 6 IL NE DOIT EN RESTER QU'UN !@AlexisFONTAINE Les artistes ont été/sont des fans. Cela se confirme d’autant plus dans le metal, tant notre musique est passionnelle. De nos jours, la « mode » est à la hiérarchie et aux classements. Le metal, par l’abondance et l’hétérogénéité de groupes (nouveaux et anciens), n’y échappe pas. Kevin D’Agostino, l’excellent batteur de feu 21 Again, a rejoint officiellement le combo LANDMVRKS en avril. Depuis, les Marseillais ont tourné au Japon, ont bossé sur leur nouvel album en août et préparent une tournée française en tête d’affiche avec Resolve (octobre) suivie d’une tournée européenne en ouverture des Allemands d’Any Given Day en décembre. Bref, ça va bouger pour le K-ptain ! Un album ? Celui que j’ai le plus écouté c’est le Greatest Hits de Korn et son dvd live @ CBGB ! Quand j’avais quatorze ans, avec mes meilleurs potes, on a formé notre premier groupe et, honnêtement, on reprenait quasiment toutes les chansons de cet album ! On était des kids déterminés, on reprenait toutes les chansons des groupes qu’on kiffait à l’époque : Slipknot, Children of Bodom, Cradle of Filth, Metallica, Iron Maiden, Rage Against The Machine et même des groupes de chez nous comme Eths par exemple. Pas complètement metal, mais pour moi, ça reste une influence majeure : Blink 182, car j’admire le jeu et la carrière de Travis Barker. Sinon, l’album que j’écoute le plus aujourd’hui est Disease de Beartooth. Caleb Shomo est un génie ! Un dvd? Le dvd que j’ai le plus regardé c’est le Live in Texas de Linkin Park ! J’aimais trop ce groupe quand j’étais gamin. Un concert ? En 2017, j’ai vu Architects au Longlive Rockfest à Lyon. J’ai pris une bonne grosse claque ! Le son était ouf, le show lumière incroyable, j’ai adoré. Je n’étais vraiment pas préparé à ça ! C’est un très très bon groupe. Même si, à la base, j’étais allé au Long Live pour voir mes potes de Landmvrks... (rires) 7IL NE DOIT EN RESTER QU'UN ! Un souvenir particulier ? Mon plus beau souvenir, c’est quand j’ai rencontré pour la première fois Franky Costanza. J’avais environ quinze ans et j’étais grave fan de lui ! Ce jour-là, il a vu des paillettes dans mes yeux. Mon père peut même en témoigner. (rires) On s’est retrouvé au même concert, en tant que spectateurs, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé lui parler. On avait déjà échangé quelques messages par e-mail avant de se rencontrer et, à ma grande surprise, il se rappelait très bien de moi. D’ailleurs, ce mec se rappelle de tout le monde, c’est incroyable ! Il a été très cool avec moi. Par la suite, on a continué d’échanger par e-mail et on se croisait de temps en temps aux concerts. Aujourd’hui, c’est un bon ami à moi et ma famille ! Sinon, un autre de mes plus beaux souvenirs, c’est quand je me suis réveillé un matin avec une réponse de Travis Barker sur snapchat ! Je suis devenu dingue, je n’osais même pas l’ouvrir ! J’ai attendu que ma soeur se réveille pour qu’on puisse vivre ça ensemble. Unephotoavec...? Une photo avec Eric Moore au concert de Suicidal Tendencies, à l’Espace Julien, en octobre 2008. J’adore ce batteur ! Comment définirais-tu le style de musique de MikhMakh ? MikhMakh est un groupe de metal alternatif avec des touches de metal progressif. De quoi parlent vos textes ? C’est assez large. Dans la chanson « Work » le texte parle de l’enseignement machinal à l’école. Le fait d’apprendre à apprendre par cœur plutôt qu’à réfléchir et comprendre. La chanson « Poor man » parle d’un homme qui a réussi sa vie professionnelle mais qui est complètement passé à côté du reste. Et sinon, nous avons d’autres chansons plus légères comme « Fluffy » qui parle de ma chatte. Ce sont souvent des textes sur des sujets sérieux pris avec un peu d’ironie. A propos d’ironie, vos musiques ne sont pas dénuées d’humour ou d’autodérision. A l’heure actuelle, beaucoup de groupes de metal semblent accentuer leur côté décalé (Powerwolf, Ultra Vomit, Alestorm…), même si votre humour me fait plus penser à Freak Kitchen ou Audrey Horne. Est-ce un paramètre que vous cultivez ou cela fait-il partie intégrante de MikhMakh ? L’humour est en effet très présent dans nos chansons. Comme je suis l’auteur et le compositeur des morceaux, c’est ce qui me vient le plus naturellement. Il y a pratiquement toujours une lecture secondaire possible sur un ton humoristique. Par exemple, « Numantia » (qui a pourtant une thématique très épique, typée power metal) a une drôle d’histoire : elle est née d’un pari avec Miguel Rivera (un très bon ami espagnol, guitariste lui aussi). Je prends la musique qu’on fait très au sérieux, mais pas forcément les sujets qu’on aborde. Tout sujet peut être tourné en dérision d’une façon ou d’une autre. Cependant, nous ne sommes pas un groupe parodique. Je suis donc tout à fait d’accord avec le fait que le ton de nos textes soit plus proche de celui de Freak Kitchen que de celui d’Ultra Vomit. Vous avez sorti l’album Groovy Wonderland, il y a quelques temps. Alors que son groupe MikhMakh est en pleine tournée européenne (via Rock On Agency), je me suis entretenu avec Antoine Mikhtarian pour en savoir plus sur ce trio aussi barré que doué. 8 ZOOM SUR Membres du groupe : Antoine Mikhtarian (chant / guitare) Gaël Ascaso (basse) Maxime Arroyo (batterie) Discographie : Groovy Wonderland album (2019) Sites : www.facebook.com/ MikhMakhBand 9ZOOM SUR Comment ont été les retours ? Les retours ont été très positifs. En général, les gens sont agréablement surpris. MikhMakh n’est pas un groupe de metal très conventionnel, à commencer par la jaquette de l’album (que j’adore soit dit en passant). Un petit mot sur le clip « Bad boys », comment s’est déroulé le tournage et qui sont les « jeunes MikhMakh » ? Le tournage s’est très bien passé. Alexis Fontaine, le réalisateur, a fait un excellent travail et les jeunes étaient ravis. Les « jeunes MikhMakh » sont Lisa (ma femme) et deux élèves de Maxime Arroyo (batteur de MikhMakh). Vous avez ouvert pour Freak Kitchen (Jas’ Rod, le 12 mars). Comment s’est passé ce concert ? Le concert s’est très bien passé. Mattias Eklundh (guitariste et chanteur de Freak Kitchen) est un bon ami et j’ai été ravi de pouvoir jouer avant son groupe. Après avoir signé chez M & O Music, vous avez rejoint Rock On Agency, et une tournée européenne est bookée sur tout le mois de septembre. Cela veut-il dire qu’il est plus « facile » pour un groupe français de tourner hors de son pays ? Je ne pense pas. Cependant, Rock On Agency nous a conseillés de tourner en Europe de l’Est car ces pays sont traditionnellement plus réceptifs à notre style de musique. Nous concernant, le public marseillais a très bien réagi à notre musique à chaque fois que nous avons joué. Donc je pense que MikhMakh a tout à fait sa place en France. Cette année, le Hellfest a proposé une affiche 100% française. Trouves-tu (Ndlr : tout comme moi) que notre scène hexagonale n’a vraiment rien à envier à d’autres étrangères ? Parfaitement, comme en témoigne la renomée internationale de certains de nos groupes français. Les fans ne sont pas non plus en reste puisqu’ils n’hésitent pas à se déplacer pour assister à des concerts. Les metalleux français forment une communauté importante et soudée dont on peut être fiers ! C’est pourquoi nous serions ravis de tourner dans l’hexagone avec MikhMakh prochainement. Et d’un point de vue plus local, quel est ton ressenti/avis en ce qui concerne la scène metal régionale ? Comme j’habite près de Marseille depuis peu de temps, c’est une scène que je connais mal. Cependant, d’après l’expérience que j’en ai, il y a des groupes vraiment sympas et un public plus qu’accueillant envers la scène locale. Avez-vous d’autres dates à annoncer après votre Groovy Wonderland European Tour ? Après la tournée de septembre, nous comptons nous concentrer sur un nouvel album. On fera très certainement encore des dates avant la sortie de ce dernier, mais rien à annoncer pour le moment. ■ @STUDIOTCHAMAN ZOOM SUR Alexis Fontaine, le réalisateur, a Les metalleux français forment uneAlexis Fontaine, le réalisateur, a Les metalleux français forment une 10 VOS DERNIERS... Quel est le dernier album que tu as acheté ? Le dernier album de P.O.D., Circles, sorti en 2018, car j'avais besoin d'un retour aux sources ; et malgré le style plus calme, de leurs dernières compos, j'ai été charmée. Cela nous change de nos groupes plus agressifs par moment, j'avais besoin de calme pour retrouver mon côté créatif. J'ai acheté cet album, récemment, fin août. Quel est le dernier concert que tu as donné ? Nous avons joué, avec mon groupe Happy Fist, à la Salle Gueule (Marseille 6ème ). Soirée très forte en émotions et malgré quelques péripéties, nous avons donné du meilleur de nous-mêmes. La salle s'est remplie dès le début de notre concert ; et même si on ne voyait personne avec les éclairages de la scène, j'ai cru comprendre que le public a passé un très bon moment de violence et d'énergie. Quel est le dernier concert auquel tu as assisté ? Rammstein à Paris, fin juin. C'est actuellement le groupe que j'ai le plus de fois vu en live ! Malgré le son de stade et les manques d'aération dus à la fumée de leur pyrotechnie, j'étais une fois de plus en trance. (rires) Quel est le dernier morceau que tu viens d'écouter ? Actuellement, j'écoute Soulfly, histoire de retomber en adolescence, ça faisait longtemps... Quelle est le dernier titre que tu as répété ? Nous sommes en pleine création de deux nouvelles compos, nous reprenons également notre EP régulièrement. L'album devrait probablement être enregistré dans les mois qui suivront, et ça devrait envoyer du lourd ! Les titres et précisions ; nous les gardons pour nous pour le moment. Surprise... Quelle est la dernière fringue/ création que tu as faite ? Avec ma marque Extinct Eyes, je repars sur un type de création très ornementale. Je suis en train de terminer les nouveaux visuels pour la prochaine collection. Un mélange psychédélique, profond, glauque, et très détaillé, mais toujours dans l'esprit de mes visuels précédents. Extinct Eyes va revenir plus fort que jamais ! A côté de tout ça, j'organise mes tableaux et mes toiles pour les prochaines expositions en centre-ville de Marseille. ■ On se souvient tous de nos premières fois. Cependant, restons dans l’actualité et concentrons-nous plutôt sur les dernières fois. Sans jouer le fin psychologue du « dis-moi ce que tu as fait et je te dirai qui tu es », METAL II MARS s’est entretenu avec Mélodie. Déjà interviewée par rapport à sa marque Extinct Eyes (cf. fanzine de juin 2016), cette fois-ci, c’est en tant que musicienne -et plus précisément bassiste du combo Happy Fistque je lui donne la parole. @Mélanie Il existe de nombreux concerts dans notre région. Mais de belles initiatives comme celle-ci, un peu moins. En effet, le Furious Metal Fest n’était pas un énième festival de metal dans notre cité phocéenne (même si, avouons-le, il n’y en a pas tant que ça non plus), mais un concept fort et passion LE FESTIVAL DU MOIS 11 FURIOUS METAL FEST [PORNO GRAPHIC MESSIAH + BLOOMING DISCORD + RICINE + MARIE ANTOINETTE + LECKS INC.] - Studio Decanis - Marseille - 31/05/2019 @ Chris/L'ESPRIT METAL DE L’OMBRE À LA LUMIÈRE12 @DR Beaucoup de personnes travaillent dans l’ombre, et, à l’instar des musiciens, méritent également d’être mises en lumière. Cette rubrique vous présente donc tous ces acteurs qui œuvrent pour leur musique favorite. Qu’ils soient promoteurs de concerts, responsables de webzine, présidents de fanclub ou d’association, tous sont animés par cette même passion qui nous unit tous. L’année dernière, Sébastien Bailly a relevé le défi fou d’organiser un festival heavy metal sur deux jours, au Jas’ Rod des Pennes Mirabeau. Succès et expérience obligent, le South Troopers Festival revient ce mois-ci, avec quelques nouveautés, mais surtout une énorme tête d’affiche, à savoir Sortilège ! Espérons que cette deuxième édition soit encore une réussite, car comme on dit « jamais deux sans trois », n’est-ce pas Seb ? @xxxxx 13DE L’OMBRE À LA LUMIÈRE As-tu modifié beaucoup de choses entre la première et la seconde édition du South Troopers Fest ? Non pas tellement en fait. Le plus gros changement cette année est d’être passé à une seule journée au lieu de deux l’année dernière. On essaie de voir ce que cela va donner pour choisir quelle formule on gardera. Je sais que l’année dernière, certaines personnes n’étaient pas venues car deux jours étaient trop pour elles à cette époque de l’année, hors vacances scolaires. Nous aurons donc cette année huit groupes sur la journée du samedi, avec un début du festival à 14 heures (ouvertures des portes à 13h30). Nous aurons certainement un stand disquaire supplémentaire, et un food truck en plus. J’imagine ta fierté quand tu as officialisé Sortilège en headlining. Comment leur présence a-t-elle pu être possible ? Oui une immense fierté et pour plusieurs raisons car déjà, cette reformation avec Zouille, le chanteur mythique du groupe, était tellement inespérée. On lisait partout depuis des années dans des interviews où il disait que revenir dans Sortilège ne l’intéressait pas... Comme quoi il ne faut jamais désespérer ! Ensuite, il s’agit de mon groupe français préféré. J’ai découvert leur musique en 1987/88, soit deux ans après leur séparation et je n’avais jamais eu l’occasion de leur voir en concert. Métamorphose est l’un de mes albums préférés. Qu’est-ce que j’ai pu m’égosiller sur « Délire d’un fou » ! Donc oui, une immense fierté d’avoir réussi à les faire venir au South Troopers Festival. Je les ai contactés dès l’annonce de leur présence eu Keep It True Festival en Allemagne, avec Zouille au chant. Je n’ai pas hésité une seule seconde et ai pris mon téléphone. Après quelques échanges, tout était réglé, en même pas deux heures. Je pense que le groupe et leur entourage connaissaient notre association et notre sérieux après dix ans d’activité, et également avait eu de très bons retours de la première édition de notre festival. Le groupe a eu énormément de propositions mais n’a sélectionné que quatre concerts en France cette année, dont le South Troopers, cela rajoute bien entendu à notre fierté de les avoir. Pas de groupes locaux cette année, je me doute que le choix est cornélien, d’autant que cette année le festival n’est que sur une journée, n’est-ce pas ? Oui cela n’est pas évident de choisir les groupes et il faut faire des choix, et les bons. FHMC a toujours mis un point d’honneur à faire jouer les groupes locaux en ouverture de nos concerts, nous avons dû faire jouer une cinquantaine de groupes des régions de nos concerts (essentiellement marseillaise, mais aussi de la région de Nancy ou de Paris pour nos concerts dans ces villes). Mais malheureusement, les groupes de heavy metal / hard rock old school se font de plus en plus rares dans notre belle région et je ne te cache pas que je trouve cela dommage. L’année dernière, nous avions eu The Warm Lair, Stonecast, Style Strip et Venin qui sont parmi les derniers représentants de ce style, du style requis pour pouvoir participer au South Troopers Festival. Il y avait plus de groupes dans ce style quelques années en arrière avec Stereoxyde, Messalia, les Rockett Queen mais tous ces groupes ont disparu. La scène marseillaise bouge bien, pas mal de nouveaux groupes émergent et c’est tant mieux, mais ils ne correspondent pas au style recherché pour le festival. Je reçois plein de demandes de participations de groupes talentueux, mais ne répondant pas à nos critères. Ce n’est jamais évident de dire « non », mais nous souhaitons garder cette identité du festival, dédié exclusivement au heavy metal / hard rock traditionnel old school. Je croise les doigts pour que de nouveaux groupes de la région émergent et jouent ce style, comme les excellents The Warm Lair dont la formation est très récente. Cependant nous avons, cette année, deux jeunes groupes français à l’affiche. Question facile certes, mais obligatoire : penses-tu déjà une troisième édition ? Bien entendu j’y pense, mais j’attends de voir ce que va donner cette seconde édition. Je ne te cache pas qu’une troisième édition dépendra du succès de celle de 2019. Nous avons perdu pas mal d’argent l’année dernière, mais nous avons décidé de relever le défi cette année en s’appuyant sur tous les bons retours que nous avons eus, la bonne presse faite par tout le monde, public, médias et les groupes ayant participé et en espérant que cela déciderait un public encore plus nombreux cette année, en recentrant le festival sur une seule journée et en proposant une affiche très costaud avec la reformation d’un groupe de légende, deux légendes de la NWOBHM (Praying Mantis et Mythra), trois autres groupes étrangers qui font parler la poudre (les Ecossais de Midnight Force, les Italiens de Sign Of The Jackal et les Espagnols des The Wizards), et deux groupes français parmi les meilleurs dans leur style, Electric Shock et Stonewitch. Si le succès est au rendez-vous, il y aura un troisième South Troopers Festival (d’ailleurs, j’ai déjà des noms de groupes en tête !). www.facebook.com/ southtroopersfestival www.facebook.com/FHMC13 http://fhmc.fr 14 PORTFOLIO HELLFEST A.C.O.D. et Jérémy Begoin (SP CUSTOM) BLAZING WAR MACHINE @ Fred ShootàDonf THE WARM LAIR Chris Alarcon (L’ESPRIT METAL) w/ Mama Witch Andrei Badescu (KOUNT DROCKULA) Arno Strobl & Alexandre Soles (SCARLEAN) Bernie (LECKS INC.) Le quatuor marseillais vient de sortir son premier EP intitulé Unity 731, dont voici le clip du titre éponyme. Via dBd Studio, le groupe nous propose quatre titres de thrash/death metal bien énervés. Pour écouter l’EP, rendez-vous sur les plateformes digitales, pour mater le clip, cliquez ici ! © SNAPSHOT A l’honneur ce mois-ci dans Metal II Mars, rien de mieux que du visuel (et surtout du son !) pour se donner une meilleure idée de l’univers proposé par MikhMakh. C’est marrant, ça joue bien, ça ne se prend pas la tête, mais surtout c’est une musique fun jouée avec sérieux. MIKHMAKH - « Bad boys » [3:40] © Alexis FONTAINE Afin de garder un excellent souvenir -et surtout le partager au plus grand nombrePoste 942 a eu la bonne idée de filmer sa prestation lors du Crazy Pilots Show, auquel a participé le combo le samedi 23 mars. POSTE 942 - « 46.3 » [1:31] © Ludovic CANADAS Eths n’existant plus, Staif Bihl (guitare) ne se repose pas sur ses lauriers pour autant. En effet, le musicien a lancé un nouveau projet intitulé 6S9 et mélangeant musique électronique, metal, musique traditionnelle… ; dont voici le premier extrait. 6S9 - « Midnight run » [4:14] © GOMOR PROD SNAPSHOT - « Unity 731 » [4:38] PORTFOLIO HELLFEST 152 CLIPS The Kage & Gold (BLOOMING DISCORD) Shawter (DAGOBA), Gilles Lartigot & Ritch (DAGOBA) Nico SBM (SEIGNEURS DU METAL) Lecks (LECKS INC.) @ Mlle S Jo S. et David (GROUDOUDOU) Fred ShootàDonf, BLAZING WAR MACHINE & Dylan (PER MOMENTUM) Cissou & Mup (SUNSET CAFE) Lionel (SEIGNEURS DU METAL) w/Sabaton @ B. ALARY Ingrid S. & Aurélien M. (ROAR RENEGADE)
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